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 (m/libre) HOECHLIN ~ strangely connected

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Charlotte Ayers
Don't be afraid of the dark  be afraid of what you are
Charlotte Ayers
Don't be afraid of the dark
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MessageSujet: (m/libre) HOECHLIN ~ strangely connected   (m/libre) HOECHLIN ~ strangely connected EmptyVen 18 Avr - 19:41

Roméo Gennaioli


 
Tyler Hoechlin.
nom: Gennaioli. prénom: Roméo Tomasso âge: écrire ici. (pour les fantômes, l'âge de la mort et l'âge qu'il devrait avoir) date et lieu de naissance: écrire ici. nationalité: écrire ici. métier/études: écrire ici. (pour les patients, dites ce qu'il faisait avant de se retrouvé à l'asile et les autres, le rôles dans l'établissement) traits de caractère: écrire ici (minimum cinq qualités et cinq défauts). statut matrimoniale: écrire ici. (Si voous avez une relation malsaine avec quelqu'un du corps de surveillance, ou encore avec un patient, ou hors de l'île, dites-le nous.) groupe: écrire ici.
voilà qui je suis vraiment
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libre



Charlotte Ayers



le texte ici

EXTRAIT DE FICHE
J'arrive, au matin et tout ce que je vois, c'est un nouveau dossier sur mon bureau. C'était ce que j'aimais de cette asile! (Faux, je détestais ça. Vive le sarcasme!) Dans un soupire, je m'approche de mon bureau le prend entre mes doigts et le regard. Je l'ouvre, sans regarder la photo ou même le nom. Ce qui m'intéressait, c'est pourquoi est-ce qu'il était à l'asile. Tout ce que je vis, c'était cas d'agressivité. Meurtre causé par une follie extrême accompagné de jalousie. Il aurait agit sur un coup de tête et aurait tué l'amant de sa copine sauvagement et sa copine d'une façon assez étrange. Il aurait été enfermé pendant quatre ans avat d'être transféré ici. J'étais intrigué et nerveuse à la même occasion. Pourquoi? Parce qu'une note accompagnait le dossier. Elle disait : Vous le rencontrez à neuf heures trente. Je baissai les yeux vers le cadran sur mon bureau et vit qu'il était déjà neuf heures trente. Et comme arrangé comme une horloge un frappa à ma porte. Dans un sursaut, je me levai le dossier refermé sur mon bureau. « Oui, entrez. » La porte s'ouvrit et un préposa entra avec le patient en question. Il était grand, très grand même, du moins comparativement à moi. Je le scrute de la tête aux pieds. C'est vrai, il aurait pu abattre ses deux personnes. Il avait le gabarit pour je ne pouvais le cacher à personne. On le poussa à s'asseoir sur la petite chaise inconfortable. On me jeta un coup d'oeil avant de quitter mon bureau. J'attendis que la porte fut refermer avant de m'installer sur ma chaise. Je pris le dossier sur mon bureau avant de lire à haute voix le nom. « Roméo Tomasso Gennaioli... » J'ouvris le dossier et lu à voix haute le peu d'information que j'avais. « Originaire de la Toscane. » Je détournai les yeux vers la photo et secouai je levai les yeux et croisai ce même regard que sur la photo. J'eus un moment fixe. Il détourna le regard en premier. Je le fixais toujours. Il baissa la tête et poussa un soupire. Le silence dura plusieurs minutes. Je m'avançai, penchée sur mon bureau. « Regardez-moi. » Il me regarda à nouveau, vacillai d'un oeil à l'autre. Je m'ajustai à nouveau dans mon siège sans rien ajouter. Ce fut à mon tour de détourner mon regard vers le cadran. Quoi ? Il était déjà dix heures. Le temps avait avançai tellement vite, j'aurais pensé à quelques minutes, mais pas une demi heure! Je me raclai la gorge et repris ma position précédente, soit appuyé contre le bureau. « Soyez honnête, pourquoi êtes-vous ici. » Il approcha sa chaise du bureau et se penchant vers moi me regardant sérieusement. « J'en ai foutrement aucune idée. » J'eus un sourire et il suivit de près. « Sérieusement, je me suis réveillé dans une chambre Capitonnée ce matin et je ne sais même pas ce que je fais là. » J'arquai un sourcil, c'était la première fois que j'avais ce genre de réplique. Je poussai un léger rire. « Vous avez surement eut un dure trajet. » Il fit signe que non. « De quel trajet vous parlez? » Je me mis à perdre patience et passai ma main dans mes cheveux en me reculant dans mon siège. Il fit de même. J'allais prendre la parole quand le grand brun devant moi la prit à ma place. « C'est pas net ici, y'a des trucs qui tourne pas rond... » Je lui fis signe de se taire et il fronça les sourcils. Je me levai et m'approchai de la porte. Je l'ouvris et regardai le préposé poster devant ma porte. « Je l'amène faire un tour, il a besoin d'air. » Il fit un signe d'approbation et je me tournai vers lui. D'un signe de main je fis signe à ce Romeo de me suivre. Il s'exécuta. Sur nos talons il y avait toujours le préposé. Les mains jointes devant moi, je nous guidai jusqu'à la cours intérieure et il marcha à mes côtés. « Parlez-moi de Angelina. Que c'est-il passé? » Il se tourna vers moi toujours en marchant. « et bien, Ce connard de Benito l'a tué, donc je me suis occupé de son cas. » Il semblait tellement sûr de ce qu'il disait, s'en était perturbant. Je levai les yeux vers lui regardait au loin le regard triste. Je m'arrêtai il s'arrêta et se tourna vers moi. Il me fixa longuement. « On ne se serait pas déjà vu? » Je le scrutai à nouveau, c'est vrai qu'il me disait quelque chose. Je secouai doucement la tête. « Je ne vois pas désolé. » Je terminai dans un sourire quand. « Docteur Ayers. » Je me retournai et reconnu le signe qu'il devait être ramené à sa chambre. Je fis un signe de tête et regardai Roméo avec un sourire. Il finit par quitter et je retournai à mon bureau. Je repris son dossier. Il me disait quelque chose. Je pris sa photo entre mes doigts et passé une partie de la journée à chercher où j'avais bien put le voir. Je regardai son nom, il était Italien, je n'avais jamais mit les pieds en Italie, autre que l'Île. Dans un soupire j'abandonné le fouillage de crâne et m'occupai de mes autres patients. Sans même avoir le temps d'y penser, je regardai l'heure, vingt heure trente. Je me levai et m'enligner vers ma chambre. Mon trajet fut court, simple. Je trouvai ma porte que je trouvais les nouveaux dossiers sur mon bureau. Je m'y enfermai, verrouillant à double tour. Dans un silence, je me laissai choir contre les couvertures et fermai les yeux dans un soupire. le silence était agréable, jusqu'à ce que je me retrouve dans le dure sommeil. En plein milieu de la nuit, je m'étais réveillé en sursaut regardant autour de moi et en sueur. Je fermai les yeux me retapant des images de ma nuit. Je restai bouche-bée et perturbée, je me levai, enfilai un vieux kangourou appartenant à Matthew et m'engageai dans les couloirs. Ça m'arrivait la nuit que je me faufile dans les cuisines pour me prendre un morceau. À peine le biscuit entre mes mains, une autre s'engagea dans la pièce. Lorsqu'il fut hors de l'ombre je croisa son regard à nouveau. La question était, comment est-ce qu'il avait pu sortir durant la nuit. Il était en sueur, lui aussi et le regard inquiet. « Vous allez bien? » Je le regardai perplexe. Je mangeai en silence mon biscuit avant qu'il reprenne la parole. « Je vous ai entendu crier. » Je laissai tomber mon biscuit et levai la tête vers lui. Je n'avais pas crié, du moins pas ici. Dans mon rêve oui, parce que je le voyais lui, empalé sur une perche. Je le regardai un moment, fixe, silencieuse. Il s'approcha doucement, je le fixais toujours. « Je suis pas fou, je vous ai déjà vu quelque part. Je n'arrive seulement pas à savoir où. » 'avalai ma salive, je devais rester Rationnelle. « Je suis désolé, mais avant ce matin, je ne vous connaissais pas. » Faux, ce n'était pas la première fois que je faisais ce rêve... Je regardai le sol, ramassai ce biscuit et le regardai à nouveau. « Vous devriez retourner à votre chambre. » Je tournai les talons pour retourner à la mienne, mais il se mit à ma suite. « Attendez... » Je m'arrêtai fermant les yeux. Je poussai un soupir regardant au sol. Je pris une grande respiration. Professionnelle Charlotte, professionnelle. Je repris ma route vers ma chambre.

prénom, nom


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